Illustré par suréda de trente-deux bois en couleurs et en noir gravés par aubert.
paris, aux Éditions lapina, 1926, in-4, broché, couverture illustrée, 185 pp. tirée à 400 exemplaires numérotés, celui-ci sur rives. cette première édition illustrée de «la fête arabe» qui conte l’histoire d’une oasis progressivement dénaturée comprend 32 bois dont 6 hors-texte en couleurs d’andré suréda. peintre versaillais, il entreprend un voyage en afrique du nord décisif quant à son orientation artistique. il fut reconnu de son temps comme l’un des meilleurs orientalistes modernes.